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Créé le : 12/03/2007 13:57
Modifié : 14/03/2007 17:19

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roberto carlos

14/03/2007 17:19

roberto carlos


Essuie-glace infatigable du côté gauche, au Real Madrid et en équipe du Brésil, Roberto Carlos da Silva a atteint le haut niveau de la manière qu’il déboule dans les couloirs adverses : à toute vitesse. Originaire d’Araras, un quartier de Sao Paulo, le jeune Roberto intègre l’équipe première d’Union San Juan dès l’âge de 14 ans, débute sous le maillot auriverde avec les moins de 16 ans, et à 18 ans s’impose dans l’équipe de Palmeiras tout en savourant sa première sélection avec la grande seleçao ! Rien que ça.

Il faut dire que Roberto Carlos n’est pas un garçon comme les autres. Plutôt une force de la nature au physique à la fois atypique et impressionnant. Avec son mètre 68 et ses 70 kg, ses percées dans les défenses font l’effet d’un sanglier percutant une Austin Mini. Avec un centre de gravité plus bas que la moyenne, ajouté à un tour de cuisse de 58 cm, le bonhomme développe très tôt des qualités de vitesse et de percussion inédites à son poste, ainsi qu’une frappe de balle atomique qu’on pensait réservée au dessin animé Olive et Tom (ah, le fameux tir de l’aigle…).

L’Europe découvre donc ce petit phénomène sous les couleurs de l’Inter Milan, en 1995. Sa vision ultra-offensive du poste d’arrière gauche ne rentre pas vraiment en adéquation avec les plans de l’entraîneur malgré une saison pleine agrémentée de 5 buts en championnat. L’Inter, coutumier du fait, laisse s’échapper le joyau vers un club où les montées frénétiques du Brésilien ne provoqueront pas de crise d’urticaires à l’entraîneur. Car pour que Carlos donne son meilleur, il faut le laisser s’exprimer. Et pour le laisser s’exprimer il faut prendre tactiquement en compte sa propension à ne pas jouer (ou presque) dans sa moitié de terrain.

L’Espagne, où règne l’amour du jeu offensif, s’avère donc un point de chute idéal pour le gaucher. Les Hierro, Helguera et autres Makelele qui se chargeront de compenser ses montées l’ont sans doute parfois haï. Mais quel rendement en attaque ! En 10 ans de présence au sein du club merengue, l’infatigable Roberto Carlos va empiler 41 buts en Liga et 16 en Ligue des Champions, dont pas mal de coups francs. Et surtout agrandir la déjà imposante salle des trophées du Real avec, entre autre, trois C1 et autant de titres de Champion d’Espagne.

Avec l’explosion de Roberto Carlos, c’est la définition même du poste d’arrière latéral qui prend un coup de vieux. Après des années à se demander comment arrêter le bonhomme, les entraîneurs européens vont reprendre à leur compte cette vision du poste pour donner une nouvelle dimension à leur animation offensive. Si aujourd’hui les Cicinho et les Maicon gambadent gaiement sans trop craindre les hurlements venus du banc, Roberto Carlos – et son compatriote Cafu – n’y est donc pas étranger. En seleçao, on ne lui aura jamais reproché ses montées. Lors de la Coupe du Monde 2002, le sélectionneur régla d’ailleurs le problème en optant pour un 3-5-2 qui demandait moins de repli défensif à Carlos et Cafu, avec au bout une cinquième trophée pour le Brésil.

Après dix ans de vie commune, son histoire d’amour avec le Real Madrid bat tout de même un peu de l’aile. Et si ses performances lui valent quelques critiques justifiées, elles s’expliquent peut-être par la situation de la "Maison Blanche". Les années Florentino Perez semblent avoir quelque peu ternie sa bonne humeur légendaire au sein d'un vestiaire où "Espagnols" et "Brésiliens" se déchirent dans une ambiance de fin de cycle qui donne envie d’aller voir ailleurs. Mais à 33 ans, celui dont la famille a adopté l’Espagne aimerait surtout que le Real se remettent sur de bons rails pour terminer sa carrière en beauté alors qu’il a battu en janvier dernier le record de matches en Liga pour un étranger détenu par Alfredo Di Stefano (329). Et si au passage, il pouvait soulever une dernière fois la Coupe du Monde avec la seleçao, grâce à un des ses mythiques coups francs, Roberto Carlos da Silva serait enfin comblé





ronaldinho

14/03/2007 17:06

ronaldinho


Comme tous les gamins brésiliens, le petit Ronaldo Assis s’initie au football dès son plus jeune âge, avec son père et surtout son grand frère Roberto. A 7 ans, il intègre le club phare de sa ville, Porto Alegre, le Grêmio, où évolue déjà son aîné. Sa passion pour le jeu est déjà compulsive. Ronnie vit, mange et dors football. Et quand ses potes n’en peuvent plus, il trouve en son chien Bombon un partenaire d’entraînement infatigable qu’il dribble aussi bien dans le jardin familial qu’à l’intérieur de la maison, au milieu des meubles. Le tableau est presque idyllique mais le décès tragique de son père, victime d’une hydrocution dans la piscine de la villa offerte par le Grêmio, le marquera à vie. Il n’a alors que 8 ans.

Couvé par son frère, qui deviendra par la suite son agent, Ronaldo poursuit son ascension de future star mondiale au sein du Grêmio. Intégré dans l’équipe première en 1997, il commence à éblouir le terrain par ses feintes alors que le club repousse, déjà, une offre de 7 millions d’euros du PSV Eindhoven. En 1999, le prodige remporte son premier trophée, le championnat Rio Grande do Sul dont il finit meilleur buteur avec 15 réalisations en 14 rencontres.

Les plus grands clubs européens vont alors tenter de s’arracher les services de celui qu’on nomme désormais Ronaldinho Gaucho. Le Real, le Barça, l’Inter Milan et même Leeds sont sur le coup. Pourtant, c’est du côté du Paris-SG, l’ancien club de son idole Valdo, que le Brésilien va poser ses valises, en 2001, au terme d’un bras de fer judiciaire qui le privera de terrain durant de longs mois. Le montant de l’indemnité de transfert, finalement fixé par la FIFA, ne s’élève qu’à 6,4 millions d’euros. En réalité, l’arrivée de Ronnie au PSG coûtera beaucoup plus cher, notamment via les "salaires" versés aux membres de sa famille, comme l’a montré la récente enquête sur les transferts douteux du club parisien.

Côté terrain, Ronnie alterne entre matches moyens et prestations spectaculaires. L’Europe découvre ses coups francs, mais surtout sa technique de dribble inimitable. L’entraîneur du PSG Luis Fernandez apprécie pourtant modérément le manque de régularité du joueur, accusé de choisir ses matches et d’abuser de la nuit parisienne. Le Brésilien champion du monde 2002 débute ou termine de nombreuses rencontres sur le banc, mais sa classe transpire dès qu’il met l’accélérateur, notamment lors des derbys PSG-OM. Le Parc ne peut cependant conserver son joyau qui repart bredouille après une finale de Coupe de France perdue face à Auxerre. Direction le
FC Barcelone.

C’est un club catalan en pleine reconstruction qui accueille en 2003 le génie brésilien, arraché au nez et à la barbe du Real Madrid et de Manchester United. Sur les traces de Romario,
Ronaldo et Rivaldo, Ronnie entretient la tradition auriverde du Barça après l’échec du modèle "tout hollandais" prôné par Louis van Gaal. Après une saison de "chauffe" où les Catalans s’assurent une place en Ligue des Champions, le club présidé par Joan Laporta construit son équipe autour de son "galactico". La constellation d’étoiles du Real Madrid éclaire à peine plus qu’une lampe de poche face à l’inventivité technique de Ronaldinho qui mène son équipe vers le titre national. Malgré une élimination précoce en Champion's League, Barcelone renoue avec son ambitieuse devise du "gustar y gañar" (plaire et gagner). Tendance confirmée lors de la saison 2005/06 où le club vogue vers un doublé championnat-Ligue des Champions, tandis que Ronnie s’approprie le 50ème Ballon d’Or France Football. Sûrement le premier d’une longue liste…





c-ronaldo

13/03/2007 23:37

c-ronaldo


Cristiano Ronaldo
Publiée par danny9288
Cristiano est né le 5 février 1985 à Funchal sur l’île de Madère. Dès son plus jeune âge, il se passionne pour le football. Il joue d’abord au Maritimo Funchal : le club de sa ville natale, puis au Nationale Madère. Les grands clubs portugais s’intéressent rapidement à lui. A l’âge de 11 ans, il arrive au Sporting Club de Lisbonne où il débute sa formation. Il connaît une scolarité difficile, il a de mauvaises notes et on lui reproche son agressivité. En revanche son évolution sportive est impressionnante !

L’entraîneur roumain du Sporting fait appel à lui alors qu’il est seulement âgé de seize ans. Mais de mauvais tests de psychomotricité retardent son entrée dans le monde du football professionnel. C’est seulement deux ans après qu’il intègre l’équipe. Cristiano connaît une ascension fulgurante puisqu’ il évolue à Manchester United en 2004.

Il a 18 ans lorsqu’il est engagé par Alex Ferguson. L’entraîneur mise sur ce jeune talent qu’il suit depuis plusieurs années. Le joueur signe alors un contrat de 5 ans pour 22,5 millions d’euros ! Le championnat anglais lui réussit puisqu’il remporte la coupe d’Angleterre en 2004 ! La meme année il est meme élu l'homme le plus sexy de l'Euro.

Ce footballeur polyvalent et talentueux est capable d’occuper tous les postes de milieu de terrain. C’est pourquoi, le sélectionneur du Portugal : Louis Felipe Scolari l’intègre à l’équipe nationale en août 2003. Il terminera Finaliste du championnat d'Europe en 2004 avec l'équipe nationale du Portugal.

En 2006,il remporte la coupe de la ligue avec Manchester United. Ce jeune joueur est à l'aube d'une grande carrière très prometteuse... Mais le joueur âgé de 21 ans seulement voudrait quitter le club anglais pour partir en Espagne où il voudrait relancer sa carrière.
Le jeune joueur voudrait rejoindre soit le FC Barcelone ou le Real de Madrid… mais pour l’instant rien n’est encore fait.

Pendant la Coupe du Monde en Allemagne, Cristiano Ronaldo emmène son pays le Portugal jusqu'en demi-finale ou ils perdent contre la France.
Le séduisant attaquant est de nouvau élu le joueur le plus sexy!

Il n'y a pas que le foot dans la vie de Cristiano. Grace son physique plus qu'avantageux, il a plusieurs contrats avec des grandes marques. Il apparait dans les spots de Suzuki, Nike ou Pepe Jeans. Il fait meme la couverture du jeu video Fifa Street 2.




les starts

13/03/2007 23:32

les starts


les meilleurs






zizou

12/03/2007 14:22

zizou


Ne vous fiez pas à son état civil, Zinédine Yazid Zidane est "né" un 12 juillet 1998, au Stade de France. Directement entré au panthéon du football hexagonal avec son doublé historique en finale de la Coupe du Monde face au mythique Brésil, ce fils d'immigrés algériens symbolise alors la génération black blanc beur qui fait gagner la France. La clameur des "Zizou président !" paraît aujourd'hui aussi lointaine que les illusions perdues de l'intégration à la française, pourtant l'image de Zidane est plus fédératrice que jamais à l'approche de sa troisième coupe du monde. Même si les célèbres feintes du numéro 10 ont perdu de leur tranchant.

Formé à l'AS Cannes, qu'il rejoint en 1987, Zidane n'est pas encore le phénomène que l'on connaît. Sous les ordres notamment de Guy Lacombe, qui décèle un futur bon joueur sans entrevoir le destin béni de ZZ, le gamin de la Castellane s'épanoui tranquillement. Après avoir effectué ses débuts en Division 1 en 1989, à 17 ans, Zidane inscrit son premier but en 1991 face au FC Nantes d'un lob plein de sang froid.

Après la descente de Cannes en D2, Zizou rejoint en 1992 les Girondins de Bordeaux où il va retrouver les futurs champion du monde 1998 Bixente Lizarazu et Christophe Dugarry. Zidane se révèle sur le terrain et commence à marquer l'histoire lors de l'épopée girondine en Coupe de l'UEFA 1996. Après un sublime lob de 40 mètres face au FC Séville, en huitièmes de finale, Bordeaux affronte le redoutable Milan AC. Défaite 2-0 à l'aller, la bande de Zizou crucifie l'ogre milanais 3 à 0. Elle ira jusqu'en finale mais ne pourra rivaliser avec le Bayern Munich sans Zidane, suspendu à l'aller.

Franchissant les paliers un à un, Zidane répond chaque fois présent aux rendez-vous de l'histoire. Elle le guide en 1996 sur les traces de l'autre numéro 10 mythique de l'équipe de France, Michel Platini. En signant à la Juve, où "Michele" a laissé un souvenir impérissable, Zizou se lance un challenge : apprendre encore pour devenir l'un des meilleurs joueurs du monde. En deux ans, le Français passe un nouveau cap au sein d'un des clubs européens les plus rigoureux et ambitieux. C'est avec deux titres de Champion d'Italie en poche et un mental à toute épreuve que le désormais leader d'attaque des Bleus se présente à la Coupe du Monde 1998. Sans surprise, il s'approprie quelques mois plus tard l'ultime consécration individuelle, le Ballon d'Or France Football.

Starifié, adulé, voir béatifié, Zidane poursuit son ascension avec le doublé historique Mondial 98-Euro 2000. Il aurait tout pour être comblé mais il lui manque la Ligue des champions sur laquelle la Juve se casse les dents depuis le départ de Deschamps. Zizou opte donc, en 2001, pour un changement d'air facturé 75 millions au Real Madrid, heureux acquéreur du joyau.

Zidane incarne alors une politique qui va, un temps du moins, faire ses preuves. C'est l'ère des Galactiques du président Florentino Perez qui ambitionne de recruter une megastar à chaque intersaison. En parallèle, Perez veut également miser sur les jeunes issus du centre de formation, c'est la formule des "Zidanes y Pavones" (du nom du jeune défenseur Pavon). En 2002, son rêve est exhaussé avec une victoire en finale de la Ligue des champions face au Bayern Leverkusen (2-1), grâce notamment à une reprise de volée venue d'ailleurs du français. Ses contrôles inimitables et ses passes lumineuses en font le "Dieu" du Real Madrid. "Les gens viennent au stade pour voir Zidane contrôler le ballon", résume le président Perez, son premier fan.

Aussi discret puisse-t-il être, Zidane est aujourd'hui l'idole de la planète foot. Régulièrement cité parmi les personnalités préférées des français, il sera encore cet été le leader naturel des Bleus, celui dont l'absence tétanise et la présence rassure, coéquipiers comme supporters.

En 2002, l'affaire de la "cuisse de Zidane" avait cristallisé l'importance du joueur et de l'homme au sein de l'équipe de France, incapable de faire la décision lors de la Coupe du Monde organisée en Corée/Japon sans son maître à jouer. Un problème encore non résolu à ce jour, alors que Zizou a du mettre un terme à sa retraite internationale pour envoyer en Allemagne des bleus empêtrés dans leur phase de qualification.

On s'interrogeait sur l'état de forme du Ballon d'Or 98 mais Zidane a surpris le monde du football pour sa dernière Coupe du monde. Le tournoi commence toutefois difficilement pour Zizou qui prend deux cartons jaunes lors des deux premiers matchs de la France, face à la Suisse et la Corée du Sud, qui se soldent par deux nuls. Suspendu le jour de son anniversaire, il regarde, depuis les vestiaires, ses coéquipiers battre le Togo 2-0 et assurer la qualification pour les huitièmes. Zidane revient donc contre l'Espagne et livre une grande prestation ponctuée du troisième but français, au terme d'une magnifique action individuelle. Puis il remet ça contre le Brésil, livrant sans doute son meilleur match de Coupe du monde. L'artiste sur le terrain, c'est lui. Les spectateurs sont émerveillés et Zidane signe sa première passe décisive à Henry sur coup franc.

En demi-finale, contre le Portugal, il répond encore présent en inscrivant le penalty de la victoire. Et il récidive lors de la finale, face à l'Italie, en prenant Buffon à contre pied sur une Panenka très osée. Mais le match bascule en prolongation. Zidane passe à deux doigts de marquer le deuxième but français d'un coup de tête détourné par Buffon, puis craque quelques minutes plus tard en répondant à la provocation du défenseur Marco Materazzi qui l'insulte (de terroriste ?).

Le Français adresse un coup de boule dans le torse de l'Italien et l'arbitre sort le carton rouge. A dix minutes de la fin, Zidane laisse ses partenaires affronter la séance de penalty. Le tir de Trezeguet tape la barre et l'Italie est championne du monde. Un cauchemar pour le football hexgonal et une fin de carrière incompréhensible pour Zizou. Près de deux français sur trois déclarent pourtant ne pas lui en vouloir dès le lendemain de la défaite. Le Dieu Zidane est redevenu homme.





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